Système d'alerte interne
Conformément à la loi n° 171/2023 Coll., sur la protection des lanceurs d'alerte, telle que modifiée, Canna b2b s.r.o. (ci-après dénommée l'« Entité assujettie ») a mis en place un système interne de signalement des comportements illicites (ci-après dénommé le « Système interne de dénonciation »). Ce système est destiné aux employés et aux autres personnes qui, dans le cadre de leur travail ou d'activités similaires, ont obtenu des informations sur un éventuel comportement illégal dans la mesure visée à l'article 2 (1) de la loi. 1 de la loi n° 171/2023 Coll., sur la protection des lanceurs d'alerte.
Une notification peut être soumise par :
- un employé de l'entité assujettie,
- une personne exerçant une autre activité similaire pour le compte de l'entité assujettie en vertu de l'article 2, paragraphe 1, de la loi. 3 lit. a), b), h) ou i) de la loi n° 171/2023 Coll.
L'entité assujettie exclut la réception de notifications de personnes qui n'effectuent pas de travail ou d'autres activités similaires pour elle en vertu de l'article 2, paragraphe 1, de la loi. 3 lit. a), b), h) ou i) de la loi n° 171/2023 Coll.
Procédure de notification
L'entité assujettie autorise la soumission de notifications de la manière suivante :
- Par écrit – en envoyant une notification papier à l'adresse du siège social de l'entité assujettie portant la mention « Ne pas ouvrir – confidentiel (lanceur d'alerte) ».
- Par e-mail – en envoyant une notification à l'adresse e-mail : whistleblowing@cannab2b.cz.
- Orale/personnelle – devant la personne concernée qui consigne cette notification dans le dossier.
La personne compétente est Tereza Malá, tel.no. 774 766 034, adresse de livraison : Příbram, Pražská 145.
En plus du système de signalement interne, le lanceur d'alerte a le droit de déposer un rapport par l'intermédiaire du ministère de la Justice de la République tchèque. Cette option peut être utilisée sur la plateforme officielle : https://oznamovatel.justice.cz/chci-podat-oznameni
Protection et confidentialité des dénonciateurs
- Le signalement doit contenir des informations permettant d'identifier le lanceur d'alerte. Les signalements anonymes ne seront pas traités – l'entité assujettie n'est pas soumise à l'obligation de le faire en vertu de l'article 2 (1) de la loi. 2 de la loi n° 171/2023 Coll., le médiateur est tenu de recevoir ou de traiter des signalements anonymes (sauf exceptions spécifiées dans la loi).
- L'entité assujettie est tenue de préserver la confidentialité de l'identité du lanceur d'alerte et du contenu du signalement – seules les personnes autorisées ont accès à ces informations.
- Le lanceur d'alerte est protégé contre toute mesure de représailles (ex : licenciement, détérioration des conditions de travail) s'il dépose un signalement de bonne foi.
L'entité assujettie a publié une directive interne qui réglemente en détail la question de la protection des lanceurs d'alerte, y compris la procédure exacte de dépôt et de traitement des signalements. En cas d'ambiguïté quant à la procédure, les règles prévues par la présente directive interne s'appliquent.
Traitement des signalements et des abus
- La personne concernée est tenue d'évaluer le rapport et de décider de la suite à donner au plus tard 30 jours à compter de la date de réception.
- Dans le cas de notifications plus complexes, ce délai peut être prolongé jusqu'à 30 jours, mais pas plus de deux fois – le lanceur d'alerte doit être informé de la prolongation du délai.
- Après avoir enquêté sur le signalement, le lanceur d'alerte sera informé du résultat et des mesures prises.
- Le dépôt d'un faux signalement peut être considéré comme un abus de protection juridique et peut entraîner des procédures disciplinaires ou d'autres actions en justice.
- L'entité assujettie se réserve le droit de prendre des mesures pour protéger ses droits en cas de fausse déclaration sciemment.